dimanche 28 septembre 2014

Approvisionnement en eau potable à Bumba

Le commerçant Papy Nzombo
          La Cité de Bumba vient de bénéficier de la consommation d’une eau potable, œuvre réalisée par monsieur Papy Nzombo, brave fils du territoire et commerçant de carrière.
          L’eau, c’est la vie, dit-on. Ce jeune commerçant d’une trentaine d’âge, sensible à la misère de ses congénères qui s’agglutinaient autour de quelques rares robinets de la regideso en quête d’eau, eut heureusement conçu l’idée de venir à la rescousse de ceux-ci en honorant leur détresse.
Résidence de Mr Papy Nzombo sur avenue Mbandaka, non loin de son château d'eau
          Soucieux d’agir en partenaire pragmatique au programme de « cinq chantiers » du gouvernement et non en le scandant sous forme de slogan comme le récitent certains politiciens flatteurs, Papy Nzombo, sans ambition politique aucune, s’engagea courageusement avec ses frais propres à la réalisation de son rêve salvateur : celui d’approvisionner sa population en eau potable.
La population s'approvisionne de l'eau de puits de Papy Nzombo
          C’est sur l’avenue Mbandaka n° 141, non loin de la rivière Lingode et du marché central, référence direction Momboko, que les machines se déploieront sur quitus des autorités hiérarchiques et paiement de gros frais pour le forage de puits.
L'eau est remontée dans les deux tanks avant d'être distribuée
          L’ingénieur technicien Jean conduira avec habileté et ingéniosité lesdits travaux jusqu’à leur accomplissement le plus complet en un temps record. Ils dureront en tout pour tout un mois. Deux tanks d’une capacité de 2300 litres chacun seront placés à une hauteur de 10 m. Ils sont alimentés par un aqueduc à partir d’un puits profond de 48 mètres. A une heure et 7 minutes déjà, les 2 tanks sont pleins et le moteur doit être arrêté. La nappe aquifère étant touchée, l’eau continuera à jaillir sans repos …
          Les quatre robinets de cette pompe avec un débit de 10 cm3 par seconde ont résolu à quelques expressions près la carence dont souffrait la population de la périphérie en eau potable. De longues queues qui se formaient jadis autour de précités rares robinets de la Regideso n’existent plus. Le bidon de 25 litres d’eau qui se vendait à 150 FC auparavant coûte désormais 100 FC. Concurrence tout à fait loyale !
Papy Nzzombo dans une de ses boutiques au marché central de Bumba 
          A l’occasion de son inauguration le 06 juillet 2014, Papy Nzombo, l’initiateur de l’œuvre, avait convié la population dans son message circonstanciel, à la consommation sans gratuite de cette source vitale pendant un mois.
          Ouf de soulagement de la population de Bumba, surtout celle habitant dans les parages de nouvelles installations qui continuait encore à consommer à ses risques et périls l’eau sale de la rivière Molua en dépit de risques de contamination des maladies hydriques qu’elle courait.
La concession de Papy Nzombo où s'implante son château d'eau

          Si de telles initiatives se multipliaient à travers la cité de Bumba, sans doute, on parlerait d’une cité émergente d’ici 2020. Nous ne savons que saluer Papy Nzombo pour son coup d’essai qui s’est révélé en coup de maître.
                                                               Rodrigue Modandi















dimanche 21 septembre 2014

Les routes et avenues de la cité de Bumba en état de dégradation

L'avenue Mobutu vers la direction "poste"



          Les pluies diluviennes qui se sont abattues ces derniers jours ont causé d’énormes dégâts dans la cité de Bumba. Des maisons, surtout celles construites anarchiquement sur des sites marécageuses ont subi la rigueur et la folie de ces pluies torrentielles. La plupart d’entre elles se sont effondrées et les habitants sont désormais exposés à la merci des intempéries.
L'eau de Lingode sur avenue Masobe et route Manga: débordement de lit

          Les dégâts les plus visuels sont ceux de la dégradation très avancées de la route principale (avenue Mobutu) ainsi que celle des grandes artères reliant la cité au centre-ville. L’avenue Mobutu est jonchée d’érosions qui la rendent inaccessible. Toutes les grandes artères facilitant elles aussi l’accès au centre-ville sont devenues impraticables.       
          C’est le cas des artères communément appelées directions : prison centrale, poste, Ebunde 1, route Manga) qui passent pour des boulevards de nid-de-poule désertes de toute circulation : véhicule, moto, vélo, voire même piéton. La direction « poste » s’est particulièrement distinguée par l’extrême puissance des eaux qui a provoqué une énorme excavation sur l’avenue Mobutu, empêchant même aux petits poussins d’une poule de passer à l’autre côté, à la recherche des aliments nécessaires à la survie. 
Au croisement de l'avenue Mobutu et la direction "poste"

          L’avenue du fleuve s’en allant amincissant par les eaux  du fleuve d’un côté, est de l’autre côté habitée honteusement d’une grande érosion qui la divise avec folie en deux camps. Et ce spectacle ahurissant se joue courageusement devant la résidence officielle de l’Administrateur du territoire de Bumba, où les eaux du fleuve entament une bonne partie de terre. Quel défi ? N’eût été l’intervention de SOCAM qui, ne tolérant pas voir ses véhicules bloqués à l’autre extrémité de l’avenue à l’ONATRA, où se trouvent ses dépôts de riz, a construit tant bien que mal le petit pont, permettant ainsi la reprise des circulations des véhicules sur l’avenue du fleuve devant la résidence de l’Administrateur… 
Devant la résidence de l'Administrateur du territoire de Bumba

  

          La rivière Lingode qui prend sa source au centre de la cité de Bumba, aux environs de la troisième avenue, ne respecte plus son lit durant sa traversée jusqu’à son déversement sur la rivière Molua. Les débordements des eaux sont toujours enregistrés çà et là lorsqu’il pleut, et les eaux de Lingode se déversent sur la chaussée des certains artères et avenues avant de reprendre son lit quelques mètres en aval.  Les constructions anarchiques des maisons et l’implantation des quelques rizières le long du lit du Lingode ne favorisent pas une coulée pacifique du ruisseau.
La rivière "Lingode" débordée par ses eaux qui se jettent sur l'avenue Mbandaka

         Les entretiens initiés par quelques jeunes patriotes bumbatraciens ne donnent pas de résultats probants, ils sont débordés par l’ampleur de la catastrophe.
          L’inactivité, voire la passivité des autorités territoriales face à cette dégradation des infrastructures routières, nous paraît complice, par conséquent coupable. Pourtant, l’Administrateur du territoire, Monsieur Jean Willy Angali Kabola, avait, au cours de son message populaire à l’occasion de son meeting du 30 juin dernier, le jour de la commémoration de l’indépendance, amorcé une série de collectes des fonds par le service de l’OVD (Office de voirie et drainage) pour faire participer activement toute la population de Bumba à l’entretien et à la réparation des routes et des avenues, mais hélas, cette initiative semble être mise aux oubliettes, tant elle ne se dit plus rien, et personne n’en parle, pas même la presse locale.
L'Administrateur a initié une collecte des fonds qui s'est soldée par un échec

          Il ne faudra plus attendre des accidents ou d’autres calamités s’y produire pour intervenir. Ce serait trop tard ! « La médecine prophylactique vaut mieux que celle curative ». Cette dernière accuse toujours un taux d’échecs cuisant surtout lorsqu’elle intervient en retard. Mieux vaut prévenir que guérir, dit-on.
Même devant le bureau de l'Office des routes, l'état de l'avenue Maman "Yemo" est déplorable

          Dignes fils de Bumba, vous qui arborez fièrement toutes ces épithètes de révérence (excellence, honorable, administrateur, notable, etc.), vous comme toutes les autres âmes de bonne volonté, votre sensibilité à ce S.O.S. sera la bienvenue pour arrêter à coup sûr cette monstre hémorragie rongeuse qui donne une mauvaise image de la cité de Bumba.     
                                                                     Rodrigue Modandi et
                                                                     Antonio Lisuma

  

vendredi 12 septembre 2014

Matende, totem des paysans de groupement Bosambi à Bumba.


          Le groupement de Bosambi du secteur de Loeka situé à une dizaine de kilomètres au nord de la cité de Bumba est le bastion de croyants à un démon pourfendeur réputé sous le nom de « Matende ».
          Les habitants dudit groupement sont parmi les grands cultivateurs de riz, de maïs, de banane et de manioc. Ils sont très actifs et contribuent énormément à l’accroissement de la production agricole qui fait du territoire de Bumba un important grenier agricole.
          Dans le souci ardent de voir toujours leurs productions s’accroitre d’année en année, certains paysans de ce coin s’adonnent à apprivoiser un esprit aux forces exceptionnelles et redoutables nommé « Matende ». Celui-ci, pour les gens qui le « domestiquent », en monte une garde la plus jalouse en assurant la totale protection de tous les biens de son maître. Il y veille au grain et s’apprend farouchement à toute personne qui oserait sciemment ou par  inadvertance toucher à une quelconque culture du champ, ou menacer l’intérêt ou même la tranquillité de son maître membre dudit groupement. L’infortuné se voyait brutalement assommé de coups, ou soumis à un traitement maléfique.
          Cette protection couvrait aussi tous les biens du maître, sa vie y comprise. Les arbres fruitiers n’échappaient pas non plus à la vigilance de fameux esprit Matende. Les fruits des arbres ne peuvent être cueillis que par les initiés ou mieux sur la bénédiction du maître. Matende a déjà fait beaucoup de victimes depuis sa « domestication » par les indigènes.
          L’histoire que nous vous racontons n’est pas une affabulation ni le fruit d’une quelconque imagination. C’est une réalité bien vécue comme telle révélée par un converti en guise de témoignage à l’occasion de la fête de l’ascension en la messe du dimanche 02 aout 2014 à la paroisse Notre Dame.
          Notre informateur témoin de la mésaventure de Matende nous a révélé des turpitudes qu’il a subies une nuit alors qu’il était hôte d’une famille vivant en pacte avec Matende.
          Ne connaissant pas les règles du jeu de majordome, l’hôte après son grand besoin, aurait déchiré un lambeau d’habit qui servait de rideau des installations sanitaires comme papier hygiénique. Le fait de déchirer ce lambeau de rideau – bien de la maison – constitue d’ores et déjà une grave infraction aux yeux de « Matende ». Il se déchargera sans désemparer au violeur, hôte.
          Hospitalité oblige. Le repas à l’honneur de l’hôte était bien servi. Mais lorsque ce dernier s’apprêta pour manger, survint un homme de taille naine pour lui proférer de médisances. « Tu viens de m’agresser, précise le nain, le repas te servi te coûtera ta vie. Que tu l’aies consommé ou non, tu mourras assurément.
          A ce propos chargé de haine et de médisance, notre hôte, plus que stupéfait, grelottant d’effroi et d’angoisse perdu tout appétit. Ne sachant pas à quel saint se vouer, il se réfugiant dans la prière en égrainant son chapelet.
          La maman servante y passera pour récupérer les assiettes, elle s’étonnera que l’hôte n’a pas mangé. Très inquiète, la maman s’adressa au visiteur pourquoi n’avait-il pas mangé le repas lui servi. C’est alors que le visiteur lui raconta le propos inhospitalier et ordurier du monstre nain.
-      Qu’as-tu fait depuis ton arrivée chez nous, rétorqua la maman ?
-      Rien du tout, répond le visiteur. J’étais allé me soulager et je m’étais servi d’une partie d’habit déchiré de rideau comme papier hygiénique.
          Il n’a pas fallu toucher à çà sans notre autorisation, réagit la maman avec empressement devinant déjà que ce nain monstre n’est rien d’autre que Matende assurant avec toute légitimité la protection des biens de la maison si futiles soient certains.
          Un coq sera vite immolé la nuit pour apaiser la colère de Matende, Helas ! Celui-ci reste imperturbable et intransigeant,  et multiplia encore ses menaces.
          Comme pour protéger le visiteur, il a été décidé qu’il quittât la maison au milieu de la nuit afin d’échapper à la colère du monstre impardonnable qu’est Matende, piège arachnéen de ceux qui le domptent, le domestiquent.

                                                                      Propos de Rodrigue Modandi             

dimanche 7 septembre 2014

L’Institut Mandio bénéficie d’un apport gouvernemental de Matata Ponyo
L'ancien bâtiment de l'Institut Mandio

La construction à côté de l'ancien bâtiment


          L’Institut Mandio, une école secondaire de la section pédagogique dirigée par le Préfet des Etudes Monsieur Christophe Mokaka Ndembo, vient de bénéficier du don gouvernemental des constructions des infrastructures scolaires comme promises avec pompe par le premier Ministre de la RDC, Monsieur Augustin Matata Ponyo, dans le cadre de sa politique scolaire visant à rehausser la qualité de l’enseignement des écoles à travers le pays.



C'ONG catholique CARITAS qui a reçu le marché de la construction 

          Selon les projets du Premier Ministre, 1000 bâtiments scolaires devraient être construits pour les différentes écoles à travers la République Démocratique du Congo qui n'ont pas encore d'infrastructures durables, pouvant permettre la sécurité des matériels scolaires et assurer une bonne éducation aux élèves. Les bâtiments à construire seront équipés des bancs et d'autres mobiliers scolaires et administratifs appropriés et dignes.
Les travaux évoluent bien

          Dans la province de l'Equateur 9 écoles sont ciblées pour bénéficier des premières constructions, car les fonds disponibles ne permettent pas de commencer tous travaux à la fois, c'est à dire la totalité des 1000 constructions, il faut aller par tranche. C'est ainsi que dans chaque province, 9 écoles sont choisies.

Mr Christophe Mokaka, Préfet des Etudes à Mandio et
 l'Ingénieur Papytsho Ombeng, l'architecte et conducteur des travaux à Mandio. 

          Ici à Bumba, dix écoles devraient sur le total de 1000 écoles bénéficier de cette aide gouvernementale, selon les accords arrêtés par les autorités scolaires et la délégation gouvernementale de la BCCO (Bureau de Coordination du Congo), le maître d'oeuvre. Mais, jusque-là deux écoles (sur les 9 choisies à l'Equateur) sont en train d’en jouir, une dans la cité de Bumba, et une autre à Yamokundia, vers  le secteur de Yandongi. Quand seront construites les huit autres écoles ?

Les ouvriers de la paroisse Notre Dame ont reçu de CARITAS le marché des meubles
          Confiés à CARITAS, un organisme chrétien catholique, les travaux de construction à l’Institut Mandio ainsi qu'à Yamokudia évoluent bien, et aboutissent actuellement à la toiture, à la mise des tôles
La mise des tôles





L'Ir Papytsho

          144 bancs et quelques huit tables bureau et des armoires sont déjà réalisés par les menuisiers de la paroisse Notre Dame.  Les élèves de l’Institut Mandio ne vont plus écrire et se tenir débout pendant leurs leçons, comme ils le faisaient auparavant à longueur de la journée, ou s'entasser nombreux sur un même banc.
Une vue des élèves dans une classe de l'Institut Mandio

                                                                                                   Antonio Lisuma

lundi 1 septembre 2014


Les Résultats de l'Institut Mandio Elikya aux Examens d'Etat 2014 

         
          L’Institut Mandio Elikya, dirigé par son Préfet des Etudes, Monsieur Christophe Mokaka, celui qui succéda à Monsieur Losso Nicodème, s’est aussi présenté aux examens d’Etat avec une pléthore de candidats, 98 au total, dont 59 ont satisfait aux épreuves avec une moyenne de : 53,6 %.
Le bâtiment de l'Institut Mandio Elikya
Mr Christophe Mokaka, Préfet de l'Institut Mandio, successeur de Mr Losso Nicodème

Noms de l'Elève
Option
%
Sexe
Réussites
ADOSE ADAU JEREMIE
PEDAGOGIE GENERALE
52
M
AEMBE ELENGA PAULIN
PEDAGOGIE GENERALE
60
M
AGENONGA FUNDI JEAN
PEDAGOGIE GENERALE
50
M
ALONGEA KALE MICHEL
PEDAGOGIE GENERALE
55
M
ANDOLO GENA RUPHIN
PEDAGOGIE GENERALE
51
M
ANDOY LIPOMBO MIKI
PEDAGOGIE GENERALE
51
M
ANGBULU MBEDI WILLY
PEDAGOGIE GENERALE
52
M
ANGUMU LIMBAYA YANNICK
PEDAGOGIE GENERALE
53
M
AUNDU MINDEMBO PAOLA
PEDAGOGIE GENERALE
55
F
BOLOMBO KAMA NICLETTE
PEDAGOGIE GENERALE
50
F
BOSUNGI BALOTSHA PELAGIE
PEDAGOGIE GENERALE
51
F
DINGBO BANDILISI J/PAUL
PEDAGOGIE GENERALE
59
M
EHILA AKOMBE ALAIN
PEDAGOGIE GENERALE
51
M
EHILA NGOYA OLIVE
PEDAGOGIE GENERALE
60
F
ELENGA MATONDOLO OZEAS
PEDAGOGIE GENERALE
57
M
EMBALE MINZELE JEANNE
PEDAGOGIE GENERALE
52
F
EZAU LIPOKA DENISE
PEDAGOGIE GENERALE
52
F
FOLOLO LOMBELE JEAN
PEDAGOGIE GENERALE
50
M
GEFEU OBOTELA DEO
PEDAGOGIE GENERALE
51
M
IDUMA MOTUMBA CONSTANTINE
PEDAGOGIE GENERALE
50
F
IDUMA TINDA NICLETTE
PEDAGOGIE GENERALE
57
F
KABAYA APUA THERESE
PEDAGOGIE GENERALE
58
F
KEKE MBILIA MITTERAND
PEDAGOGIE GENERALE
51
M
KENDE BONGBENGELE FRANCK
PEDAGOGIE GENERALE
54
M
KENGE LOKELE MARIE
PEDAGOGIE GENERALE
51
F
LIKELENGE LIWOZA CHANTALE
PEDAGOGIE GENERALE
50
F
LOKUTTAWE BOLENGA EVARISTE
PEDAGOGIE GENERALE
56
M
MABONZE LISIKA MICHEL
PEDAGOGIE GENERALE
52
M
MADISA YENGE SANDRINE
PEDAGOGIE GENERALE
51
F
MAHIO MBANZA MATHILDE
PEDAGOGIE GENERALE
56
F
MAKAMBO LIMBILA PATIENCE
PEDAGOGIE GENERALE
52
M
MAKENDENI BOSA BLAISE
PEDAGOGIE GENERALE
58
M
MAKILO NDENGA ROSE
PEDAGOGIE GENERALE
54
F
MAKONI BENDE DIEU MERCI
PEDAGOGIE GENERALE
50
M
MAKUMU IDUMA MICHELINE
PEDAGOGIE GENERALE
58
F
MALULA LYSHAMA ZEPHYRIN
PEDAGOGIE GENERALE
52
M
MANGANGA MOLONDO MOLONDO
PEDAGOGIE GENERALE
52
M
MANZIA BOLELO PAULIN
PEDAGOGIE GENERALE
52
m
MANZIA MOKONDA CHOISUELLE
PEDAGOGIE GENERALE
59
F
MASENGIA MITANO DIEUMERCI
PEDAGOGIE GENERALE
60
M
MASOLO BENDELE BENJAMIN
PEDAGOGIE GENERALE
55
M
MASOMBO EGATO DIEU MERCI
PEDAGOGIE GENERALE
58
M
MBEMBE LOGEYA RUBEN
PEDAGOGIE GENERALE
50
M
MBENGE LIANGA MARIE THERESE
PEDAGOGIE GENERALE
51
F
MBOYO MANGONDO GISELE
PEDAGOGIE GENERALE
52
F
MBULA ESOLI CONSTANT
PEDAGOGIE GENERALE
50
M
MBULI LIOPA CHRISTIAN
PEDAGOGIE GENERALE
54
M
MBUMBA AMBWA MARIE
PEDAGOGIE GENERALE
52
F
MINDO BINAMA RUTH
PEDAGOGIE GENERALE
54
F
MISIO BITA REAGAN
PEDAGOGIE GENERALE
50
M
MITANO EMBEYA ELIE
PEDAGOGIE GENERALE
53
M
MONAMA EKUTSU GEDEON
PEDAGOGIE GENERALE
58
M
MONAMA MAGUZU OLIVIE
PEDAGOGIE GENERALE
54
M
MOSALA MATSI THERESE
PEDAGOGIE GENERALE
57
F
MWALE LIHELIE MESHAC
PEDAGOGIE GENERALE
55
M
NDELE DELEKE PATRICK
PEDAGOGIE GENERALE
54
M
NGBENGU MOLONDO EMMANUEL
PEDAGOGIE GENERALE
50
M
OGULA EGBENDE MOISE
PEDAGOGIE GENERALE
60
M
YANGELA LIMAU CEDRIC
PEDAGOGIE GENERALE
54
M
Le bâtiment de l'Institut Mandio Elikya
          Avec ce nombre élevé d’élèves, tant dans la classe terminale que dans toutes les autres, l’Institut Mandio Elikya s’affirme davantage comme une des meilleures écoles pédagogiques de Bumba derrière le Lycée Salongo. 



          Reste à y installer une discipline scolaire exemplaire à l’instar des écoles comme le Collège Notre Dame et le Lycée Salongo, pour rehausser tant soit peu le niveau de son enseignement scolaire.

         
Antonio Lisuma